1984-1989: la jeunesse insouciante

1985: Piliop et ses lignes

1986

1987: l'envol de Michel Duchêne

1988

1988: volée de S. Van Nuffel

1989

Remise des prix, avec le jeune Piliop !

1988, Kiki dans ses oeuvres, sous l'oeil attentif (de droite à gauche) d'Arnaud et de nos deux regrettés Michaël et Jean
C'est l'époque de l'adolescence. L'insouciance. Des heures et des heures passées chez les copains, dans les champs, à vélo, à jouer au foot, au ping-pong, à la balle de mousse. Ce qui est drôle, malgré nos caractères de gagnants, c'est le peu de rivalité entre nous quand nous pratiquons ce nouveau sport. Comme si la découverte du badmintennis et le plaisir procuré l'emportaient sur l'esprit compétitif. On s'entend à merveille, en dépit de fortes personnalités: Philippe et Eric Dache, bien sûr, et aussi les frères Verbruggen, les frères Grégoire, Michel Fena, les cousins Christian et Jean-Yves Seront, ainsi que Jon Charte qui deviennent des "piliers". Tous s'acharnent à battre le maître des lieux: Michel Duchêne, le vieux lion, dit "Monsieur Let".
En 1988, c'est la première fois que le mot "badmintennis" est officiellement employé. C'est aussi la toute première buvette.
En 1989, c'est l'apparition de Frédéric Michaux, qui deviendra le seigneur des années 90, et la première grosse défaite de Michel Duchêne, des oeuvres d'un certain "Kiki-spectacle" !
Il y a trois tournois par an: les simples vers le 15 juillet, les doubles vers le 15 août, le petit tournoi par tirage au sort vers le 1er septembre. Quelque chose d'important est en train de s'épanouir dans nos vies, mais nous l'ignorons encore...





